Distance : 23 kms,
Temps : 6 h.15,
Dénivelé : 45 m.
Les chaussures sont sèches après avoir été fortement mouillées hier. Je les avais posées sur le radiateur de la salle d'eau et j'avais augmenté la température du radiateur. Je réitère mon mécontentement par rapport à l'imperméabilité garantie par le fabricant.
Pour aujourd'hui, c'est une étape facile qui est au programme. Il n'y a quasiment pas de dénivelé.
On musarde en prenant le petit déjeuner car on sait que l'on va prendre le bateau de 9 h.52. Il y a, en effet, un service de bateau sur le lac de Starnberger. On peut effectuer le trajet Bernried Seeshaupt, distant d'environ 4 kms, en 15 minutes. C'est une façon originale de commencer notre avant-dernière étape de marche.
Malheureusement, il fallait lire correctement la fiche horaire. L'horaire envisagé n'est valable qu'à compter du 17 juillet. Il y a bien un bateau, mais il passe à 11 h.45, ce qui est trop tard.
C'est donc un trajet par un chemin longeant le lac qui nous permet de rejoindre Seeshaupt.
A la sortie de Seeshaupt, nous avons l'occasion d'admirer le matériel mis en place pour flasher, dans les deux sens, les voitures qui roulent trop vite ; la voiture des policiers était dissimulée dans une petite route.
Ensuite, si nous avons bien longé, du bon côté, le lac de Frechensee, nous sommes passés à gauche plutôt qu'à droite d'un lac plus important le Großer-Oster-See. Nous avons dû effectuer quelques variantes dans les bois car nous ne sommes jamais passés à Lauterbach comme prévu !
Néanmoins, nous sommes arrivés vers 12 h.30 à Iffeldrof pour manger au restaurant.
Quel a été notre étonnement quand les plats sont arrivés. Les escalopes nous paraissaient gargantuesque tant elles étaient grandes !
Le restaurant devait avoir de la parentèle en Grèce car les serviettes mentionnaient des noms grecs avec leur traduction en allemand, et en fin de repas on nous a proposé de l'Ouzo.
Après le repas, il nous restait plus de 6 kilomètres à parcourir pour terminer cette étape.
C'est sans se tromper, au milieu de la campagne ou des bois, que nous avons rejoint la ville de Penzberg.
Si le ciel a été uniformément gris moyen tout au cours de la journée, nous n'avons pas eu à subir la pluie.
L'hôtel qui nous héberge est trop moderne à mon goût. On n'a pas l'impression d'être en Bavière !
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